10.11.2010

Grève

Quelle grève pour quelle idée quand les chiffres disent tout le contraire que nos si belles aspirations à ne rien foutre ou à foutre autre chose.

Oui, tout est là, à prendre, à redistribuer, même le papier qui s'est tant éloigné du capital qu'il n'y a plus de lien.
Plus personne ne travaille décemment avant 30 ans, les actifs ne sont activés que par incartades qui ne rapportent qu'au capital. Qu'on le crève donc l'Etat et à chacun au chien puisque nous ne sommes pas plus adulte que ça.
La société en général s'appelle Kerviel. Un fusible qui saute au ralentit. La Russie elle-même est en train de disparaître.
Décroissons. Crevons en masse. Laissons des terres franches, l'humanité en friche.
Cessons de sortir pour demander à finir encore plus lentement. Enfermons-nous pour créer du vide.

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