Ce sont dans les moments de fatigues prenantes, physiques ou psychologiques ou un banc des deux et en forçant un peu, encore, un ou deux parties de la machine que l'on est le plus en état d'une mise au clair d'une évidence
parce que la tension qui nous castre au monde, les contraintes qu'exige la représentation , s'étiolent, se fissurent et nous projettent par flash dans le mouvant
où notre conscience cherche à se dépêtrer, mal vêtue, mal mise mais glanant subrepticement des intuitions éparses, une seule parfois comme si elle buvait la tasse.
parce que la tension qui nous castre au monde, les contraintes qu'exige la représentation , s'étiolent, se fissurent et nous projettent par flash dans le mouvant
où notre conscience cherche à se dépêtrer, mal vêtue, mal mise mais glanant subrepticement des intuitions éparses, une seule parfois comme si elle buvait la tasse.
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