8.26.2014

Haiku de route/ 3

World's largest Transmission specialist. Un chat vautré en bas de l'enseigne sous la file méthodique des arrivée à Lax. Je termine par le froid, réveillé tôt dans le décalage, je mets mon costume pour trancher le matin dans le quadrillage des rues. Je piétonne motor city après les donuts et les litres de café blème. La Brea puis sur la gauche où des gens se saluent.

Les bougainvilliers dans des jardins rachitiques regarde la sculpture rognée d'une biche, regarde les décorations de rues pauvres sous les lignes aériennes. Le balcon chantait une voix de ténor, je bifurque dans prairie, la remonte, bifurque encore dans les avenues trop larges pour l'heure polluée d'après aube, je regarde les secondes en rouge descendre pour traverser, tout le reste est une image multipliée qui se reproduit dans les villes de toute importance.


Le champs de course à lévrier, les chevaux peut-être, le parking vide, la couleur des palmiers nourrit à l'air rance, je monte une côte légère de bloc suivi de fast-food, gaz station, panneaux publicitaires qui m'arrachent les dents pour rien, des gens rares en attente, rechargeant des gobelets gigantesques de sodas ou de café. Je m'arrête acheter une brosse à dent, j'oublie toujours, des cigarettes, je zieute les rayons lent, pas encore réveillé et sur mes gardes des zones nouvelles.

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