La frustration (compréhensible) de certains ne doit pas entraver la richesse (même relative, même potentielle) d'un tout, si imparfait soit-il.
L'Europe est une réalité, un idéal et une utopie. Un continent de guerres ne s'unifie pas en claquant des doigts.
Pour être clair, je suis citoyen suisse, vivant à l'étranger. J'ai longuement été contre l'intégration à l'Union.
Je suis pour une Europe fédérale,
je suis pour une Europe politique, sociale et culturelle
et pas pour la libérale.
Je crois que Lisbonne aurait dû venir avant Maastricht.
Je pense que le politique devait ou devrait fonder l'économique et pas l'inverse que nous subissons.
Ses bases, je crois, sont doubles. L'économie (le charbon et l'acier) et la paix.
Et c'est la paix qui me porte, la cohésion, l'unité des différences.
Le signal envoyé par la Suisse, qui fait bander les populistes européens, est une marque rance et ce serait déjà trop si ce n'était également une marque dangereuse.
Même Fillon, cet UMP "modéré" trouve ce choix naturel (avant de se raviser pathétiquement).
Bientôt l'Europe votera puis la Grande-Bretagne.
Alors j'espère, en tant que Suisse (et même si je vis à l'étranger, en Europe, ma famille y réside, mes amis, mes connaissances) que l'Europe réagira vite, très vite et très fort.
Elle ne doit pas montrer aux autres pays que l'on peut faire ce que l'on veut avec ce que l'on a signé.
Elle doit être ferme. Et tant pis.
Et ne croyez pas que je me contente de l'Europe qu'on nous construit, mais il y a une soudure à tenir et des failles brunes à colmater.
Europe, fouette-nous!
L'Europe est une réalité, un idéal et une utopie. Un continent de guerres ne s'unifie pas en claquant des doigts.
Pour être clair, je suis citoyen suisse, vivant à l'étranger. J'ai longuement été contre l'intégration à l'Union.
Je suis pour une Europe fédérale,
je suis pour une Europe politique, sociale et culturelle
et pas pour la libérale.
Je crois que Lisbonne aurait dû venir avant Maastricht.
Je pense que le politique devait ou devrait fonder l'économique et pas l'inverse que nous subissons.
Ses bases, je crois, sont doubles. L'économie (le charbon et l'acier) et la paix.
Et c'est la paix qui me porte, la cohésion, l'unité des différences.
Le signal envoyé par la Suisse, qui fait bander les populistes européens, est une marque rance et ce serait déjà trop si ce n'était également une marque dangereuse.
Même Fillon, cet UMP "modéré" trouve ce choix naturel (avant de se raviser pathétiquement).
Bientôt l'Europe votera puis la Grande-Bretagne.
Alors j'espère, en tant que Suisse (et même si je vis à l'étranger, en Europe, ma famille y réside, mes amis, mes connaissances) que l'Europe réagira vite, très vite et très fort.
Elle ne doit pas montrer aux autres pays que l'on peut faire ce que l'on veut avec ce que l'on a signé.
Elle doit être ferme. Et tant pis.
Et ne croyez pas que je me contente de l'Europe qu'on nous construit, mais il y a une soudure à tenir et des failles brunes à colmater.
Europe, fouette-nous!