7.27.2012

Cérémonie d'ouverture des JO, commentaire live et amoureux/2

Ce sont deux imageries qui se font face à face,
deux moments particuliers du mensonge et de l'illusion
deux époques particulières du spectacles qui sont ici présentées et mise en scène

James Bond et la Reine,

deux merveilles du faux, deux totalités du faux qui sont l'amour et le gage de soumission de ceux qui payent pour les justifier.

Boyle ose, sans se gêner, faire plonger dans l'arène, je veux dire montrer explicitement, à nu, la genèse, le développement et la réalité transhistorique du spectacle

et

le peuple jubile.

Dans l'excès et la simplicité.
Dans le miroir qui est déjà écho d'un monde éteint qui se ronge jusqu'à l'os.

God save ceux qui croient en lui.
Avant l'exorciste.

Alors la NHS
pour encore avoir une prise sur celui qui, s'il tient, payera.
Et y croire, c'est s'y endormir

Boyle suit une dialectique d'une simplicité parfaite. Il peut se permettre de dire exactement. Il ne risque rien.

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