7.27.2012

Cérémonie d'ouverture des JO, commentaire live et amoureux/3

Alors jouons Vangelis et ramenons dans l'ancien, le mythe, le spectacle, l'invention de la crise et la réalité du mensonge, la réalité auto-réalisée du faux devenu vrai,
de la conséquence définie hors de la cause, mais qui devient elle-même cause et conséquence.

Oui, la crise n'existe pas.

La crise est comme une exception.

Le système en lui-même ne risque bien entendu rien. Les zones de pouvoir seront déplacées, mais le capitalisme sera sauvegardé.
Ce qui est en définitive la raison principale de l'invention de cette pseudo-crise et le sacrifice de certains Etats non-utiles.

Mais ceci sera développé dans un post ultérieur.

Restons dans la joie organisée.

Et voyons la maison et le retour qui est organisé en show, illustré au travers du duplicata d'une série, souligné toujours par la récupération amoureuse d'une musique qui a d'abord été une réaction avant d'être un outil uniquement commercial.


Talking 'bout my generation
AVANT
Satisfaction


Puis la bonne négresse et l'assimilation par l'économie
le racisme tué par la consommation

dans une chorégraphie qui mime l'unité du cercle dans le rang, par le rang,
par l'angle
qui redéfini la danse en zone non-humaine, configurée, construite et contrite, contrainte
et si misérablement laide.

Punkons donc les marionnettes
ou marionnettons la réaction et faisons la sauter comme un gosse limité sur des extensions d'handicapé.

5 secondes pour du merveilleux détourné et la totalité d'une absence technoïque qui se croit, se veut et est considérée comme superbement moderne.
La répétition mainstream que l'on nous vend comme l'unique revenu, la fraîcheur depuis 20 ans, mais qui est l'exécrable du même,
non dans sa production,
mais dans les oreilles de ceux qui se persuadent d'une développement permanent
et qui ne sont au final
que des singes écoutant des singes.





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