11.09.2011

l'idéal socialiste et le cinéma occidental





















Interchangeable, une étendue sans facette alors qu'on désirerait un oedème,
le cinéma français sublimant l'idéal socialiste sublimé par hollywood.
On se désagrège comme Opalka dans des sérigraphies du désir qui jubile le même et nous l'exige, nous le rappelle en mouillant des mêmes cons sur des faces qu'on bande,
ad VITam aeternam.
Il y avait cette femme dans ce film, couchée, puis cet homme après un plan de coupe
et son visage à lui était son visage à elle,
neutralisé dans l'envie du spectateur d'être eux pour pouvoir se haïr et se sortir de soi en zappant.
Nous inversons l'image, la figure au vent et le point tendu vers l'avenir glorieux,
nous sommes apostrophés et éclatés dans nos désarrois, nous avons la gloire déprimée, nous nous devons d'être splendidement abattu ou alors nous sommes calcifiés dans nos assurances, nous sourions, annonant des dialectiques implacables,
experts en tout,

mais avant toute chose, nous sommes comme dans tout fascisme respectable, parfaitement interchangeables.











































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