Oui, des choses hallucinantes peuvent toujours se produire et j'ai visionné le nouveau clip de zaz.
Il m'a immédiatement fait penser au livre de zemmour.
Il est fréquent que les artistes en panne d'inspiration et sous pression des maisons de disques soient obligés de pondre un opus transitoire, le plus souvent de reprises, histoire de combler les vides et justifier leur contrat. Personne n'est, néanmoins obligé de reprendre des vieilles chansons, on peut revisiter sonic youth par exemple.
Le choix ici est volontaire. Paris. Et le Paris d'avant.
Cette chanteuse qui semble à la fois si révoltée et si je-m'en-foutiste se calle merveilleusement dans le rance de l'époque.
Le passé idéalisé comme un meilleur, un plus joli, un éden ce n'est pas nouveau. Mais dans l'atmosphère putrescente actuelle, qui rêve en saumon de remonter la rivière des valeurs et de l'en-bas, qui manifeste pour tous, qui plonge en moral ( tout en consommant sans éthique ), que cette moral soit "républicaine " ou religieuse et quelle que soit la religion, qui s'absurdit en radicalité, les choix ne sont pas si innocent que ça.
Cet album qui fleure la guinguette fleure aussi poujade, la nostalgie, non pas d'un 68 par exemple dont elle semble théoriquement se rapprocher, mais bien d'avant-guerre.
Si c'est ça ta réalité zaz, je vais peut-être me mettre à écouter un vrai révolutionnaire comme cali ou sardou.
Il m'a immédiatement fait penser au livre de zemmour.
Il est fréquent que les artistes en panne d'inspiration et sous pression des maisons de disques soient obligés de pondre un opus transitoire, le plus souvent de reprises, histoire de combler les vides et justifier leur contrat. Personne n'est, néanmoins obligé de reprendre des vieilles chansons, on peut revisiter sonic youth par exemple.
Le choix ici est volontaire. Paris. Et le Paris d'avant.
Cette chanteuse qui semble à la fois si révoltée et si je-m'en-foutiste se calle merveilleusement dans le rance de l'époque.
Le passé idéalisé comme un meilleur, un plus joli, un éden ce n'est pas nouveau. Mais dans l'atmosphère putrescente actuelle, qui rêve en saumon de remonter la rivière des valeurs et de l'en-bas, qui manifeste pour tous, qui plonge en moral ( tout en consommant sans éthique ), que cette moral soit "républicaine " ou religieuse et quelle que soit la religion, qui s'absurdit en radicalité, les choix ne sont pas si innocent que ça.
Cet album qui fleure la guinguette fleure aussi poujade, la nostalgie, non pas d'un 68 par exemple dont elle semble théoriquement se rapprocher, mais bien d'avant-guerre.
Si c'est ça ta réalité zaz, je vais peut-être me mettre à écouter un vrai révolutionnaire comme cali ou sardou.
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