Ce qui est l'apocalypse
le ciel inondé
par tes yeux
une toile léchée, ta voix annoblie trop vite
Mon coeur, mon coeur
tu bouffes le soir
l'ivresse en couleur et le tumulte des foires
Au printemps naissant
la nuit s'immole
et toi bel enfant
dans une danse folle
au printemps naissant
dans tes yeux la rancoeur
car l'hiver puant
avait gelé tes pleurs
Susurre-moi le chaos
Tout autour du village
quand les singes criaient
des étalons sauvages
en hiver violaient
le corps immaculé
de Mary Pixies
de mille coups redoublés
de sexes argenté
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