3.20.2016

Chronique d'un fumeur qui s'arrête- Jour +2













J'ai officiellement arrêter d'arrêter vendredi à 14h24.
Je ne vois pas de faiblesse. Mais des constats.
Je n'ai pas écrit.
Je n'ai pas pensé.
Je n'ai pas produit.
Je n'ai pas été concentré.
Je n'ai pas pu me concentrer sur autre chose que le tabac qui a obnubilé ma pensée.
Je suis donc pris et bien pris.
Et je m'y suis mal pris.


Je continuerai la chronique, gentiment. Je prépare la suite. Je n'ai pas renoncé à arrêter. Et je vais le faire bien.

Mais le tabac semble être un adjuvant nécessaire, encore nécessaire.

Je suis un nerfs. Une somme de nerfs. Peut-être que le fait d'avoir été électrocuté dans le ventre de ma mère, dans son bain quand elle m'attendait à quelque chose à voir avec cette tension qui me tord et me tend.
Mais quoi qu'il en soit cette tension est une réalité violente qu'il va falloir gérer et transformer.

J'ai recommencé parce que j'ai trop de chose à faire, trop de gens auxquels penser et que le contexte de vie dans lequel je suis génère un trop-plein de nerfs. Mais j'ai un plan.























 

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