9.04.2014

Trierweiler/ Le socialisme n'en a jamais rien eu à faire des pauvres

C'est drôle d'imaginer dans les mots ce qu'ils devraient porter, ce que l'on croit qu'il porte ou ce que l'on désire.

Les "sans-dents" ou le mépris du pauvre.

Les vengeances publiques ronflent et délectent et dans le rance, elles n'apportent qu'en décades un moisi plus bas. Trierweiler fait ce qu'elle veut dans cet espace de la Polis qui ne sait plus vendre, pour ne pas dire offrir, ni d'abstrait, d'idées, ni de concret, de praxis. Ce n'est pas, ici, le propos.

Les gens semblent découvrir une ineptie et s'insurge. Le socialisme doit respecter, comme viscéralement, les pauvres.

Mais ça n'a jamais été le cas.

Le socialisme respecte et défend, du moins théoriquement, le travailleur.

A la limite, le pauvre est une donnée de la pensée de droite, parce qu'il fait partie du théorème de la droite, il est une fonction de cette pensée politique. Il n'est en rien une fonction de celle de gauche. Il est une absurdité dans la construction pratique de la théorie de gauche.
Il n'y a rien d'incongru dans la phrase de Hollande. Elle est en accord avec ce qu'il croit et ce qu'il défend.

Pour être clair, le pauvre n'a aucune représentation politique. Il est un outil que seul la droite considère réellement.

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